Arnaud un soumis gay

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il y a 5 ans

La première fois que j'ai vu Arnaud, il était dans une position pour le moins inconfortable. Il avait la tête et les mains prises dans un carcan, les pieds dans un autre, il était totalement à poil et il se faisait fouetter très durement par un mec avec un harnais en cuir. C'était au Keller, il y a une dizaine d'années. Je ne savais pas alors que nous allions vivre pas mal d'aventures sexuelles ensemble.

C'était en mars 2000. Je m'en souviens très bien car j'allais fêter mon anniversaire une semaine ou deux plus tard avec des copains que je voyais rarement. À l'époque, je fréquentais un peu le milieu cuir parisien et, franchement, j'avais un certain succès. J'étais jeune par rapport à la moyenne et j'avais le look parfait pour ce genre de lieu, cheveux tondus à 3 mm, barbe naissante, corps naturel (je ne me rasais que quand on me le demandait alors qu'à l'époque c'était plutôt la mode) et surtout j'étais très décoincé. Ceux avec lesquels j'avais joué (ou qui m'avaient pratiqué) savaient que je pouvais être dominateur et même plutôt dirigiste en dépit de mon âge (j'avais 25 ans) mais aussi, dans d'autres circonstances, très soumis et même très maso. J'hésite un peu à vous raconter dans le détail des plans SM car j'ai un peu peur de vous choquer.

Ce soir-là, j'adoptais un look adapté au Keller. J'enfilai un tee shirt blanc, un blouson de moto et un pantalon en cuir noir coupe jean sans rien dessous. Je complétais le tout avec une paire de Caterpillar montantes noires (je n'avais pas de rangers et je trouve ça trop inconfortable) et je sautai dans le métro. Il était à peu près 22 heures lorsque je suis arrivé au Keller. Le barman m'a tout de suite payé un verre. Je ne me souviens plus ce que je buvais mais je me suis mis à l'aise. J'ai quitté mon blouson et mon tee shirt et j'ai commencé à déambuler torse nu dans la backroom.

Très vite, j'ai été alerté par des bruits de coups de martinet et des gémissements qui les ponctuaient. Je me suis approché du carcan. Là, un jeune gars -vraiment jeune, la vingtaine tout au plus- était immobilisé totalement et un type vêtu d'un harnais et de chaps, la queue raide, le frappait à grand coups de martinet. Le garçon comptait : "un, maître, merci maître. Deux, maître, merci maître..." etc. Je me mis face à lui. Son visage exprimait la douleur. Il avait les larmes aux yeux. Un groupe de mecs les entouraient et faisaient des commentaires ou se branlaient. Je ne tardais pas à sortir ma queue aussi. Au bout d'une vingtaine de coups, le dominateur tendit le martinet à un autre mec et ça recommença. Je me caressais discrètement, en sniffant un peu de poppers de temps en temps.

Au bout d'une cinquantaine de coups. Le garçon ferma ostensiblement l'un des poings ce qui était le signe qu'il voulait arrêter. Le dominateur proposa une pause et le libéra. Je remis mon sexe dans mon fut et montais au bar terminer mon verre. Le garçon, remis de ses émotions, monta derrière nous. Tout le monde y allait de son petit commentaire. Le dominateur, Gérard, si mes souvenirs sont bons, s'installa au bar. Sa queue avait repris son aspect normal et je remarquais qu'il portait un lourd cockring en métal. Il discutait avec ses copains en s'extasiant sur la performance d'Arnaud (c'était le prénom du jeune soumis).

Arnaud avait remis ses chaussures (des Van's) puis était remonté aussi. Il accepta un verre d'eau au bar. Je le regardai mieux. Il était assez menu, châtain, les cheveux courts, le corps totalement rasé, un tatouage qui partait de son aisselle et se terminait sur le haut de sa cuisse (un signe tribal), un piercing au nombril et un autre sur la langue. Il paraissait totalement exténué et j'ai appris, en écoutant les conversations qu'avant cela, il s'était fait défoncer par plusieurs queues.

Il vint s'asseoir au bar, son corps marqué et rougi par les coups, presque déchiré par endroits, ses tétons rouge vif m'excitaient au plus haut point mais il ne semblait pas du tout faire attention à moi. Il avait posé sa tête contre le torse de son b o u r r e a u et souriait. Même avec la faible lumière, je remarquai ses pupilles dilatées par le poppers. Je trouvais sa performance tout à fait excitante et en plus il me plaisait bien. Je finis mon verre et résolus d'aller me balader encore dans la backroom mais, avant ça, il fallait que je vide ma vessie. Je me suis donc dirigé vers les urinoirs.

On était en semaine, et il n'y avait qu'une dizaine de clients donc j'étais seul dans les toilettes lorsque j'ai entendu la porte grincer derrière moi. Arnaud, toujours nu, était entré et pissait dans la vespasienne à côté de la mienne. Il me regardait fixement. Je me suis dit que j'allais bander direct mais non. Je terminai et commençais à secouer un peu ma bite c'est alors qu'il plongea la tête dans l'urinoir et commença à lécher le bout de mon gland. "Tu vas pas tacher un si beau pantalon". Me dit-il avec un clin d’œil.

Le contact de sa langue et de son piercing me firent bander aussitôt. Il se mit à genoux devant moi et me suça très efficacement. Je lui tenais la nuque, plus mes mains se crispaient plus il s'activait. Je ne m'étais jamais fait sucer par un mec avec la langue percée. C'était étrange mais excitant. Je le relevai et l'embrassai. Sa langue massait la mienne c'était très excitant. Je le bloquai contre le mur et me collait contre lui. Il bandait dur aussi. Je le retournai brutalement, galvanisé par le spectacle auquel j'avais assisté quelques minutes plus tôt. J'attrapai une capote dans la poche de mon pantalon et l'enfilai. Je lui mis un doigt. Son anus était encore graissé et dilaté, je n'ai eu aucune peine à entrer d'un coup. Il a crié. J'ai mis ma main sur sa hanche, l'ai f o r c é à se cambrer et j'ai commencé à le pilonner. Il avait du mal à se tenir au mur et, vu qu'il devait être déjà épuisé, j'étais obligé de le maintenir solidement.

Mes va-et-vient étaient intenses et brutaux, il gémissait. On entendait l'épouvantable musique techno et les rires des gars au bar pourtant ce moment bref et intense n'était que pour nous. J'ai senti que j'allais éjaculer et je me suis retiré. Je l'ai fait mettre à genoux, lui ai ordonné de se branler. Je voulais absolument qu'il éjacule avant moi et j'ai réussi en serrant sa tête contre ma cuisse. Il a joui sur mes pompes et j'ai tout lâché sur son visage. Nous nous sommes souri. C'était vraiment excitant. Je l'ai aidé à s'essuyer. Il a souri. "C'était vraiment super." Je lui ai offert un verre.

Il m'a appris qu'il s'appelait donc Arnaud, qu'il avait 21 ans et qu'il faisait des études à la fac. Nous avons échangé nos numéros de téléphone et, pendant quelques temps nous nous sommes vus beaucoup, il me plaisait bien avec ses looks différents, skater percé le weekend et garçon sage la semaine, tous les deux mais aussi pour des weekends SM privés ou en club. Arnaud est un fidèle lecteur de ce site, il nous dira j'espère, si je me suis souvenu de tout. En tout cas, je le salue bien et le remercie pour tous les moments de plaisir et d'orgasme que nous avons partagé.

Stanlyon

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